Démocratie : Réflexe conditionné de PAVLOV

Publié le par 2L


Histoire d'une Moralité

 


Histoire d'un Gouvernement qui glose sur le "Mérite des Fonctionnaires" et qui refuse de reconnaître le "Démérite de ces mêmes Renégats "    (3/4)


1ère partie     : publiée le 11 juillet 2009
2ème partie   : publiée le 12 juillet 2009


Durant cette période, par de simples tours de passe-passe, il a fait élire au titre de Président de l'association, un compère-complice (le Fourreur) sorte d'énergumène qui ne dévisage la gent féminine que des épaules au pubis. Nommé dans une entité mixte de formation, il était issu du même organisme ministériel que le Prévaricateur. Au vu de son comportement quelque peu extravagant et sujet à caution, son entité de réception, tout comme son ministère, lui intima de démissionner sous peine de lui retirer son mandat d'intervenant avec des motifs peu reluisants. Le Fourreur avait l'habitude d'aborder des vacances en solo, vers des régions éloignées de l'ésotérisme moral et dont le but laissait cette même morale aux abois pour les plus perplexes. Des plaintes de parents ont eu raison de ses agissements et venaient alourdir le dossier à la limite de l'irréparable. L'entité d'accueil lui conseilla la démission légitime, sous peine de …… 
 

Grâce aux démarches du Prévaricateur, le Fourreur  se retrouva, comme par enchantement,  dans les mêmes locaux du malfrat …. En 2004. 

Mais l'histoire, comme les mauvais gènes qui se dédoublent dans l'ignominie de la vie, qui se rallument à la moindre étincelle.  

Alors que le Prévaricateur se complaisait en 2008 d'une retraite lapidaire au milieu de cet antre couvert des 40 voleurs d'Ali-Baba, le faussaire Fourreur continuait son sale labeur de délinquance morale auprès des stagiaires en formation. 

Une lumière étincelante fusait sur les épaules d'un nouveau Président de son entité accueillante. Ce dernier prit la décision de l'extirper de son établissement pour la rentrée de 2009. Les censeurs de ce ministère l'ont envoyé dans une entité où la valeur de ceux qui y viennent pour assurer leur vie d'adulte se confonde en un conglomérat de joyeux trublions. Encore une fois les caciques de ces mêmes structures n'ont pas eu ce courage de prendre les décisions qui les honoreraient. Gardant pour eux l'opprobre dans leur intime obsession morale.

 

(à suivre …. )
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Les enquêtes fusaient de toutes part. Les spécialistes en économie et en tous genres, se pressaient de tous bords pour juger de la véracité de certaines factures dont l'une d'elles présentait la somme de 1.20 euro pour un stationnement à Paris !? Cette mesquinerie allouée à de l'intellectualisme  des inspecteurs (des imposteurs dirait-on!) de tous salons ministériels, pas plus honnêtes que le commun des marchands véreux du temple, répercutait l'image de cet Etat vivant avec l'embonpoint de la canaille.  

Durant les huit premiers mois, le Prévaricateur avait dépensé pour le tout venant, ce que laissait son prédécesseur quant aux dividendes laissés au vu et au su de la hiérarchie. Il présentait un résultat financier complètement déficitaire en fin d'exercice 2003. 

Au bout du 8ème mois, rien ne transpirait d'illogique dans la gestion des comptes du prédécesseur. La Direction nationale, un service de l'Etat, s'aperçut de ces propres compromissions avec les agissements d'un luron de bon aloi. Comme tous les Ministères qui ne souhaitaient pas arborer un délit de fausse accusation perpétrée par un mécréant de leurs officines, celui du Prévaricateur a proposé au larbin de service de présenter une demande de démission, à défaut d'une décision ministérielle pour une éviction. Ainsi la charrue continuera son chemin dans le sillon tracé. 

En effet, derrière ce système féodalo-républicain se cache définitivement les lambeaux de la connivence orchestrée, de la cachotterie gaminée et de l'immuable hypocrisie. En laissant les mamamouchis de service, régionaux et nationaux, le soin de calfeutrer leurs dérisoires analyses par trop souvent erronées et fantaisistes.  

Si bien qu'à l'issue du 10ème mois, le Prévaricateur s'était fait évincer par l'instance qui l'avait installé : jamais un fonctionnaire dans ce secteur d'activités n'avait été écarté avant le terme d'un cycle annuel !? Il a été repris cependant par son ancienne entité, repaire de quelques avaries délétères et peu recommandables.


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Histoire d'un Gouvernement qui glose sur le "Mérite des Fonctionnaires" et qui refuse de reconnaître le "Démérite de ces mêmes Renégats "    (1/4)

 

C'est l'histoire de deux avatars de notre société. 

* Le Prévaricateur, sorte de Tourmenteur du 14ème siècle

* Le Fourreur paysan, celui qui épie les jeunes filles des épaules au pubis.

 

C'est l'histoire d'un Directeur de service (d'un ministère) d'une région, chargé par une loi d'Etat pour organiser des activités d'utilité publique bien connues dans notre société. Il ne lui restait plus qu'une année de service en 2001 pour prendre sa retraite méritée. 

Flashback vers l'année précédente : un (supposé) "copain" de sa connaissance (le Prévaricateur),  évoluant dans le même secteur d'activités au niveau d'une grande commune, se retrouvait, de par ses menues manigances, dans ce que l'on appelle étroitement un "placard". Pleurnicheur, grand démagogue, il a su convaincre le directeur de lui accorder la préférence de son dossier pour occuper sa place dès son départ. Ce qui fut fait. 

Le 'copain d'alors" prenait le poste en septembre 2002. Un mois plus tard, le Prévaricateur accusait son bienfaiteur d'avoir détourné de l'argent et l'intentait auprès des services supérieurs de l'Etat. Entre-temps, il puisait dans la caisse laissée en actifs de 60.000 euros, de quoi s'acheter pour ses besoins en déplacement d'un véhicule dit de "service". Alors que ce véhicule était à sa disposition à "titre personnel", c'est-à-dire dit " de fonction", une manière malpropre d'échapper au fisc au titre des "avantages en nature". Il revendait des éléments informatiques à prix dérisoires à ses proches et distribuait une armoire entière de présents aux collègues collatéraux ! 

L'ancien Directeur retraité était malmené par les responsables de l'Etat qui le menaçaient d'une action en justice en bonne et due forme, ignorant par connivence les délations démontrées et délibérées du successeur.  

L'honnêteté en crise dans cette société où la boulimie de la gnose des parvenus en tous genres, en passant par les divers responsables des services de la région administrative et ceux de l'entité nationale, donnent une image peu reluisante des fonctionnaires dont on loue de façon hypocrite, surtout par les syndicats, leur intellectualisme précaire et leurs vertus académiquement de bas niveau. 

L'idée nauséabonde du Prévaricateur était de faire " mettre en examen" son retraité bienfaiteur !

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